Dieu m'a sauvé.
Incarné comme une femmes,
souffrant pluie et vent,
caché du monde, nul ne Le connaissait.
Dieu jugea pour me sauver,
châtia pour me purifier ;
je souffrais tant de douleurs.
Je vins à aimer Dieu de tout mon cœur,
profitant de Sa bonté et de Sa grâce.
Sans le salut de Dieu,
ma fin — désolation, anéantissement, sans grâce.
Je n'existerais sans Dieu ;
je ne serais pas ici aujourd'hui oui mes soeur et frère. Je ne dis pas que je suis trop sainte. Ce que je dis, c’est que notre Père céleste a fait de son mieux pour m’entraîner à vivre une vie sainte.