Comprendre le sens du baptême.

Et il leur dit : allez dans le monde entier, annoncez l’heureuse nouvelle à toute l’humanité.

Celui qui croira et se fera baptiser sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné.  Marc 16:15-16 POV

Rappelez-vous que le Christ lui-même, tout innocent qu’il ait été, a souffert pour des coupables : il est mort, une fois pour toutes pour nos péchés, afin de nous réintroduire dans la communion avec Dieu. 

Son corps humain a été mis à mort mais, par l’Esprit, il a été ramené à la vie.

Par cet Esprit, il avait déjà prêché autrefois aux hommes qui refusaient de croire et d’obéir à Dieu, alors que Dieu attendait patiemment leur conversion : ils sont maintenant en prison dans le séjour des morts à cause de leur désobéissance. 

C’était par exemple durant les jours où Noé construisait l’arche.

L’Esprit du Christ prêchait à travers Noé, mais bien peu de gens répondirent à son appel : un petit nombre de personnes, huit en tout, furent sauvées et cette délivrance eut lieu à travers l’eau.

Cette eau du Déluge préfigurait le baptême qui vous sauve, vous aussi, non pas parce qu’il vous laverait de toutes les souillures du corps, mais parce que vous vous y engagez en toute bonne conscience envers Dieu.

Si le baptême nous sauve, c’est grâce à la résurrection de Jésus-Christ qui, depuis son ascension, siège à la droite de Dieu, où il règne sur les anges et sur toutes les autorités et les puissances célestes. 1 Pierre 3: 18-22 POV 

En effet, vous n’avez pas reçu un esprit servile ; l’Esprit qui vous a été donné ne vous transforme pas en esclaves, il ne vous ramène pas sous la férule de la crainte, il vous a introduits de plein droit dans la famille de Dieu, il a fait de vous les fils adoptifs de Dieu, ce qui nous permet de l’appeler : « Père, mon cher Père ».

C’est encore l’Esprit saint qui atteste à notre esprit : « Oui, tu es un enfant de Dieu ». 

Enfants de Dieu ? Mais alors, nous sommes aussi ses héritiers. 

Nous aurons donc part à tous les trésors de Dieu, exactement comme le Christ, et tout ce que Dieu donne à son Fils sera aussi nôtre. 

Oui, si maintenant nous sommes unis à lui, si nous portons ses souffrances, nous serons aussi à ses côtés, associés à sa gloire dans le monde nouveau.

J’estime d’ailleurs qu’il n’y a aucune commune mesure entre les souffrances de la vie présente et la gloire à venir qui sera bientôt révélée. 

En comparaison de l’avenir magnifique que Dieu nous a préparé, les contrariétés de cette vie pèsent moins que rien. Romains 8: 15-18 POV

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