vendredi 1 mars 2024

Un monde en flammes !    
On se souvient de cette journée de 1967 où un terrible incendie ravagea entièrement le plus grand magasin « Innovation », à Bruxelles. 
Le lundi 22 mai 1967, vers 13 h 20, à sa reprise de service, une employée du magasin aperçoit une fumée noire qui s'échappe du premier étage. 
Le feu s'est déclaré dans une réserve construite quelques années auparavant dans une ancienne cage d'ascenseur proche du rayon enfants. 
Appelés par une employée, trois des quatre pompiers de service se rendent sur place et tentent de maîtriser en vain l'incendie au moyen d'extincteurs. 
À 13 h 27, une sonnerie d'alerte retentit, mais elle fut confondue avec le signal de la fin de la pause-déjeuner de 13 h 30. 
À 13 h 29, le feu ne peut plus être contenu dans la réserve. 
À 13 h 34, les pompiers de Bruxelles sont informés par un coup de fil L'information est succincte : « Il y a un dégagement de fumée à l'Innovation côté rue du Damier ». 
Le lieutenant André Mulkay qui coordonnera les secours, témoigne : 
« Nous sommes partis avec deux autopompes, une échelle aérienne et une ambulance, mais en arrivant au boulevard du Midi, j'ai vu un véritable champignon atomique au-dessus de l'Innovation. J'ai directement demandé des renforts. C'était hallucinant à voir. Le rez-de-chaussée était déjà complètement en feu. Les gens essayaient de se sauver ». 
Le feu se propage rapidement au premier étage, profitant des nombreux matériaux inflammables. 
Au troisième étage, le self-service est comble et personne ne se doute encore de rien. Des fumées toxiques se répandent rapidement dans le bâtiment. 
À mesure que les personnes prennent conscience du danger qui les menace, des mouvements de panique se déclenchent. 
Les issues de secours, trop peu nombreuses, sont mal renseignées. 
Certaines fenêtres ont été condamnées. 
De nombreuses personnes se réfugient sur les balcons, les seuils de fenêtre, les corniches et les plateformes. 
Certains progressent de toit en toit pour échapper au brasier. 
Des désespérés se jettent dans le vide depuis les étages. 
À 14 h 09, la grande verrière Horta s'effondre, créant une véritable cheminée centrale déclenchant un déluge de flammes. 
Vers 15 h 30, le bâtiment s'effondre à son tour. Le feu se propage à des bâtiments et des entrepôts voisins. Tout le quartier est la proie des flammes. 
Un ballet incessant d'ambulances emmène les victimes vers les hôpitaux de la ville. 
Un deuil national est décrété. 300 personnes environ périrent dans ce sinistre. 
Cette catastrophe est l'incendie le plus meurtrier qu'ait connu la Belgique en temps de paix. Que le Seigneur nous préserve de telle catastrophe ! 
Les flammes se propageaient si rapidement qu’elles ne laissèrent à la plupart des clients aucune chance d’atteindre une sortie.  Deux vendeuses averties à temps se précipitèrent vers une issue ; arrivées tout près de la porte, l’une d’elles se retourna et s’écria : - « Ô mon manteau, mon manteau, je vais le chercher ! » Elle courue vers le vestiaire tout proche. On ne la revues jamais !  Elle perdit la vie son manteau. 
Peut-être vous me diriez : jamais je n’aurais pas été aussi insensé, voir les flammes si près de soi et ne pas tenir compte du danger !
Mes amis, pourtant, vous êtes menacés par un autre feu dont les flammes ne s’éteignent pas, celui du jugement de Dieu qui atteindra tous ceux qui n’obéissent pas à l’Évangile de Jésus-Christ, et chaque seconde qui passe rapproche des flammes du jugement.
Il existe une possibilité d’atteindre l’issue de secours : Jésus, qui nous délivre de la colère qui vient et qui nous dit : Venez à moi, vous tous ! Alors, n’hésitez pas, allez à lui, vers lui, c’est la porte de notre salut !
 Surtout, allez vers le Seigneur et faites lui confiance, donnez lui votre vie.
 Acceptez-le,  qu’il vienne habiter en vous !  Le risque est énorme, ne prenez pas le risque de la condamnation éternelle ! Dites Seigneur, je ne te connais pas mais je veux te connaître alors, j’ouvre mon cœur à ta grâce ! Et je te reçois comme mon sauveur et Seigneur !
Je te demande de pardonner mes péchés parce que je sais que sur la croix tu t’es chargé de cette condamnation afin que je ne subisse pas le jugement à venir ! Mais que je sois sauvé, et pour toujours dans ta présence.  Seigneur Jésus, je veux te recevoir dans ma vie, viens me changer, viens me transformer ! Si vous le faites sincèrement et de tout votre cœur et Dieu qui est fidèle le ferra !  Lui seul peut et veut nous sauver, venez à Lui ! Il veut vous bénir, il veut changer notre vie. N’hésitez pas, donnez lui votre vie et vous aurez cette vie nouvelle en Jésus-Christ.  
 Les choses anciennes sont passées; toutes choses sont devenues nouvelles avec le Seigneur ! Parce qu’il faut des choses merveilleuses dans nos vies.
Que le Seigneur vous bénisse et à bientôt !

“La femme... s'en alla dans la ville et dit aux gens : Venez voir un homme qui m'a dit tout ce que j'ai fait ; ne serait-ce pas ...