Voilà, direz-vous peut-être, de sages précautions prises par quelqu’un de prévoyant qui a pensé à tout.
A tout ? En êtes-vous sûrs ? Il a réglé des questions qui, de toutes façons, auraient pu l’être sans lui, mais il a peut-être laissé de côté la seule question que lui seul pouvait régler : le salut de son âme. Il a pensé à des problèmes qui se limitent aux choses passagères de ce monde. Aurait-il, hélas ! négligé celui qui touche à l’éternité ?
Pardonnez, cher lecteur, chère lectrice, cette question trop souvent évitée par mesure de délicatesse : Quel est votre degré de préparation à vous, en vu de ce passage solennel ? Êtes-vous prêt(e) à la rencontre de Dieu (Amos 4 v.2) ? Si la mort devait vous surprendre aujourd’hui, quitteriez-vous ce monde chargé de vos fautes pour rencontrer le Dieu Juge, ou partiriez-vous en paix pour rencontrer le Dieu Sauveur ?
C’est maintenant qu’il faut se mettre en règle avec Dieu, et la seule façon est de reconnaître son état de péché devant Dieu et de recevoir, par la foi, Jésus comme son Sauveur. C’est lui, le Fils de Dieu, qui a payé le prix de nos péchés en en subissant, à la croix, la condamnation à notre place.
Il y a quelques années je visitais un homme très malade qui savait sa mort proche. La dernière fois que je l’ai vu, il me raconta qu’il s’était rendu à la mairie de son village pour acheter son emplacement au cimetière. Quand tout fut réglé, avant de quitter la mairie, il dit au secrétaire sur un ton joyeux : « Et voilà, j’ai ma place au cimetière parce que je l’ai payée ! Mais ce qui est beaucoup plus important c’est que j’ai aussi ma place au ciel, et cette place, je ne l’ai pas payée car je ne pourrais pas, mais Jésus Christ l’a payée pour moi en donnant sa vie sur la croix ! »
Je n’ai plus revu ce cher monsieur, car il est parti peu de temps après ; il est entré dans le repos, près de son Sauveur et Seigneur.
Cher ami, et vous qui lisez ces lignes, puis-je vous demander où votre âme ira lorsque vous fermerez définitivement les yeux sur ce monde ?
« Il est réservé aux hommes de mourir une fois, après quoi vient le jugement » (Hébreux 9 v.27)
« Il n’y a maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus Christ » (Romains 8 v.1)