La Bible utilise souvent des métaphores frappantes et des figures de style pour transmettre des principes durables. C’était le cas lorsque l’imagerie d’une récolte a été utilisée pour décrire le jugement de la terre lors de la bataille d’Armageddon. Avec des détails eschatologiques précis, elle décrit le destin de cette terre présente et de ses habitants lors de la seconde venue du Christ.
En résumé, le récit du Christ à Jean le Bien-Aimé montre qu’il y aura une double récolte à la fin des temps. L’une illustre la récolte des croyants, et l’autre, le foulage en jugement des incroyants. Des prophètes comme Joël, Ésaïe et Jérémie ont fréquemment utilisé la récolte comme métaphore du jugement divin dans l’Ancien Testament. Jésus a également parlé du jugement à venir en termes de récolte.
À la fin de la grande tribulation, Jésus-Christ apparaîtra dans le ciel, venant sur terre pour établir Son Royaume littéral. Les dirigeants de la terre à ce moment-là rassembleront leurs armées pour résister à Christ. Inspirés et dynamisés par Satan, ils tenteront d’empêcher le règne millénaire de Christ. Mais Jésus les vaincra massivement. L’image d’un flot de sang atteignant la bride d’un cheval sur une distance d’environ 300 kilomètres illustre l’horrible issue de ce conflit.
En méditant sur ce passage [APOCALYPSE 14 :14-20], nous sommes rappelés de la souveraineté de Dieu, de la certitude du jugement, et de la nécessité pour les individus de se préparer et d’échapper à la colère de Dieu. Bien que les avertissements sur le jugement à venir ne soient pas destinés à instiller une peur servile en nous, ils devraient nous pousser à un véritable repentir et à une vie sainte. Les saints qui vivent chaque jour avec l’éternité en vue et s’efforcent de ramener des pécheurs égarés à Dieu seront récoltés dans Son Royaume. En revanche, ceux qui rejettent le salut de Dieu seront jetés dans le pressoir à vin et foulés. Le choix vous appartient aujourd’hui pour décider de votre destin ce jour terrible.
Le seul moyen d’échapper au jugement est de passer par la porte du salut.