mardi 14 octobre 2025

QUESTIONS ET AFFIRMATIONS DES JUIFS AU SUJET DE JÉSUS (2/2)
 
Deuxième partie de l’article sur « Jésus est-il le vrai Messie. » ?
 
« Un meurtrier nazi peut-il être pardonné par Dieu et aller au paradis ? »
 
Les questions qui ont trait à la Shoah ou à l’Holocauste sont chargées d’émotion et d’amertume, mais lorsque nous parlons du pardon de Dieu, nous ne sommes plus dans la sphère humaine avec ses méchancetés et ses atrocités puisque nous impliquons une reponse de Dieu. Les Écritures nous rappellent sans cesse la bonté et la miséricorde de Dieu qui ne veut pas que le méchant meure, mais qu’il se repente des péchés et qu’il change de vie.
 
L’histoire d’Achab, roi d’Israël était accusé d’assassin et de voleur par Dieu, mais après avoir entendu le prophète Élie qui lui annonça le malheur sur lui et sa descendance, il se repenti et fut épargné du malheur annoncé. Il y a aussi d’autres histoires de personnes repentantes comme celle de Saül de Tarse, qui avait persécuté l’Église et qu’après sa repentance, il est devenu l’apôtre Paul au service du Seigneur.
 
« Après avoir entendu les paroles d’Élie, Achab déchira ses vêtements, il mit un sac sur son corps, et il jeûna, il couchait avec ce sac, et il marchait lentement. Et la parole de l’Éternel fut adressée à Élie, le Thischbite, en ces mots : Es-tu vu comment Achab s’est humilié devant moi ? Parce qu’il s’est humilié devant moi, je ne ferai pas venir le maheur pendant sa vie, ce sera pendant la vie de son fils que je ferai venir le malheur sur sa maison. » 1 Rois 21.27-29 
 
« « Dis-leur : Je suis vivant ! dit le Seigneur, l’Éternel, ce que je désire, ce n’est pas que le méchant meure, c’est qu’il change de conduite et qu’il vive. Revenez, revenez de votre mauvaise voie, et pourquoi mourriez-vous, maison d’Israël. » Ézéchiel 33.11    
 
Donc, les Écritures nous donnent la réponse, Le Seigneur Dieu déploie sa miséricorde envers toutes ses créatures, il ne veut pas que le méchant meure, il lui donne du temps pour se repentir de ses péchés et pour changer de conduite. C’est pourquoi, les assassins « Nazis » qui ont accepté les conditions du salut, telles que la foi en Jésus-Christ, la repentance et qui sont nés d’eau et d’Esprit sont pardonnés par Dieu et s’ils restent fidèles à la parole de vérité sont allés au paradis.
 
Alors certains Juifs diront : Mais vous vous rendez-compte de ce que vous dites : Pardonner à un Nazi ! pour un Juif ce n’est pas pensable. Un Nazi ou un terroriste ne mérite pas le pardon de Dieu. Cela peut paraître scandaleux pour un Juif, fils de parents qui ont connu la Shoah, mais personne ne peut changer la bonté et la miséricorde de Dieu envers celui qui se repent. De plus, qui mérite le pardon sur la terre ? 

Cependant, n’oublions pas que la grâce et le pardon de Dieu attribués à Achab ou à un autre méchant repentant ne les épargne pas des malheurs et des tribulations à venir. De plus, Jésus, lui-même, a instruit ses disciples à aimer ses ennemis, à les bénir, à leur faire du bien et à prier pour eux afin d’être fils du Père qui est dans les cieux.
 
« Vous avez appris qu’il a été dit : Tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi. Mais moi je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que soyez fils de votre Père qui est dans les cieux, car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. » Matthieu 5.43-45    
 
Lorsque le Saint-Esprit promis par le prophète Joël est survenu sur les apôtres, Dieu a manifesté sa miséricorde envers les Juifs qui avaient participé à la condamnation et à la crucifixion de Jésus. Malgré ce péché d’avoit contribué au meurtre du Fils de Dieu, L’Esprit de Dieu par la voix des apôtres leur à annoncé le pardon des péchés et le don du Saint-Esprit.
 
 « Hommes Israélites, écoutez ces paroles ! Jésus de Nazareth, cet homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous par les miracles, les prodiges et les signes qu’il a opérés par lui au milieu de vous, comme vous le savez vous-mêmes, cet homme, livré selon le dessein arrêté et selon la prescience de Dieu, vous l’avez crucifié, vous l’avez fait mourir par la main des impies. Dieu l’a ressuscité, en le délivrant des liens de la mort, parce qu’il n’était pas possible qu’il fût retenu par elle. » Actes 2.22-24 
 
« […] Que toute la maison d’Israël sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié. Après avoir entendu ce discours, ils eurent le cœur vivement touché, et ils dirent à Pierre et aux autres apôtres : Hommes frères que ferons-nous ? Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. » Actes 2.36-38 cf. 2 Pierre 3.8-9       
 
« Aucun Juif religieux et instruit ne peut croire en Jésus. »
  
Cette affirmation est fausse, car il existe de nombreux Juifs qui étaient et qui sont très instruits qui ont montré leur foi en Jésus le Messie. Il s’agit de lire tout simplement le livre des Actes pour connaître un Juif très instruit, il s’agit de Saül de Tarse, un pharisien érudit, instruit par Gamaliel dans la loi de Moïse, qui a cessé de s’opposer aux disciples de Jésus parce qu’il a compris lors de l’apparition de Jésus sur le chemin de Damas, qu’il était le Messie d’Israël annoncé par les prophètes.
 
« Lorsqu’ils entendirent qu’il leur parlait en langue hébraïque, ils redoublèrent de silence. Et Paul dit : Je suis Juif, né à Tarse en Cilicie, mais j’ai été élevé dans cette ville-ci, et instruit aux pieds de Gamaliel dans la connaissance exacte de la loi de nos pères, étant plein de zèle pour Dieu, comme vous l’êtes tous aujourd’hui. » Actes 22.2-3  
 
Il y a aussi Daniel Zion, un grand rabbin de Bulgarie, il a su persuader le roi Bulgare de ne pas céder aux exigences des Nazis de livrer des Juifs sauvant ainsi de nombreux Juifs de l’Holocauste. Après la guerre, Zion s’est installé en Israël, il était fort estimé et en 1954, il fut appelé à siéger au tribunal rabbinique de Jérusalem. Mais il refusa de cacher aux autres rabbins de l’époque sa foi en Jésus le Messie. En conséquence, son titre de rabbin lui fut retiré. Daniel Zion resta un croyant fervent en Jésus jusqu’à sa mort.
 
Nous pouvons citer aussi Samuel Isaac Joseph Schereschewsky, un Juif orthodoxe très instruit qui au cours de son étude du Nouveau Testament a acquis la conviction que Jésus est le Messie. Il a gardé cette certitude secrète jusqu’à l’obtention de son diplôme à l’Université de Breslau en Pologne (devenu aujourd’hui Wroclaw), il partit en Chine pour traduire une Bible en Madarin et Wenli. Le nom de cet homme est tombé aux oubliettes dans les cercles Juifs, en tout cas pour ceux qui restent incrédules envers Jésus.
 
Dans tous les siècles, de autres nombreux Juifs instruits ont cru en Jésus-Christ, car ce n’est pas la connaissance de la loi et des prophètes qui empêche un Juif instruit de croire en Jésus, mais c’est l’état spirituel de son cœur, son absence d’amour pour la vérité et son ignorance des Écritures qui parlent de Jésus, son attachement à la tradition du Judaïsme et son désir indéfectible de préserver son lien familial dans la religion Juive.    
 
« Je suis une bonne personne ! et ma grand-mère juive n'a jamais fait de mal à quelqu’un. Sommes-nous destinés à l’enfer ? »
 
Celui qui se proclame « bon » ou qui a la réputation de n’avoir jamais fait de mal à quelqu’un, peut-il être sauvé par sa bonne moralité et par ses œuvres ? En d’autres termes, est-il sans péché devant Dieu ? Les Écritures sont claires sur l’état de l’humanité depuis le péché d’Adam, nous avons tous été renfermés dans le péché et nous avons perdu la gloire de Dieu.
 
« Il n’y a point de distinction. Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu, et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ. » Romains 3.23-24 
 
« Car Dieu a renfermé tous les hommes dans la désobéissance, pour faire miséricorde à tous. » Romains 11.32
 
De plus, le Juif instruit sait à quel point Dieu a horreur des péchés et notamment ceux qui sont commis par son peuple à qui il a confié les alliances et les promesses, ainsi que la loi de Moïse et le sacerdoce qui était établi par les Lévites pour s’instruire sur la sainteté et la miséricorde de Dieu envers les péchés du peuple d’Israël. Pour ceux qui l’ignorent encore, Dieu a des exigences élevées envers ceux qui font partie de son peuple. Donc, il est conseillé à celui qui se dit « bon » de reconsidérer le regard de Dieu porté sur lui par la voix du roi David : 
 
« L’Éternel, du haut des cieux, regarde les fils de l’homme, pour voir s’il y a quelqu’un qui soit intelligent, qui cherche Dieu.Tous sont égarés, tous sont pervertis, il n’en est aucun qui fasse le bien, pas même un seul. » Psaume 14.2-3 cf. Romains 3.9-20  
 
La deuxième partie de la question posée au sujet de la grand’mère est subtile, car elle dissimule un faux témoignage, pour dire à un moment, que le chrétien manque de charité chrétienne puisqu’il condamne une bonne personne à l’enfer. Cependant, au lieu de se complaire dans la subtilité et la dissimulation, le détracteur est appelé par l’Évangile et accepter de répondre aux conditions du salut.
 
 En effet, le salut des Juifs et des Païens ne dépend pas des œuvres de la loi ni de la tradition, ni de la théologie, ni d’une institution religieuse, ni de ceux qui se croient sages et intelligents, ni des dénominations dites « chrétiennes », mais d’une exigence à obéir à la parole de Dieu, qui est la vérité, pour être amené à faire un examen de soi-même pour y trouver son péché et l’impureté de ses pensées, pour comprendre et pour se nourrir de la parole du Dieu des cieux: « Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos cœurs. » Hébreux 3.7-8                 
 
« Qu'arrive-t-il aux Juifs qui n'ont jamais entendu parler de Jésus ? »
 
Cette question a pour but de rendre légitime l’excuse de l’ignorance qui rendrait irresponsable ceux qui n’ont jamais entendu parler de Jésus-Christ. En réalité, ceux qui posent cette question ne cherche pas la justice de Dieu, ils veulent exempter et invalider l’œuvre expiatoire de Jésus sur la croix pour effacer les péchés des hommes.  
 
Le Nouveau Testament nous dit clairement par les Écrits de l’apôtre Paul que toute la terre a entendu l’Évangile au premier siècle et qu’ensuite après la disparition des apôtres, il s’est répandu de génération en génération à travers les siècles, malgré les mensonges de Satan, l’initiateur de l’apostasie et de la calomnie envers la parole de vérité.
 
« Ainsi la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la parole de Christ. Mais je dis : N’ont-ils pas entendu ? Au contraire ! Leur voix est allée par toute la terre, et leurs paroles jusqu’aux extrémités du monde. » Romains 10.17-18
 
« Et vous, qui étiez autrefois étrangers et ennemis par vos pensées vos mauvaises œuvres, il vous a maintenant réconciliés par sa mort dans le corps de sa chair, pour vous faire paraître devant lui saints, irrépréhensibles et sans reproche, si du moins vous demeurez fondés et inébranlables dans la foi, sans vous détourner de l’espérance de l’Évangile que vous avez entendu, qui a été prêché à toute créature sous le ciel, et dont moi Paul, j’ai été fait ministre. » Colossiens 1.21-23  
 
L’honnêteté de ceux qui posent cette question est mise à l’épreuve, car eux-mêmes n’ignorent pas la personne de Jésus et qu’ils ne sont concernés par cette excuse de l’ignorance. Mais, ce que les détracteurs de Jésus et de l’Évangile doivent savoir, qu’ils se trompent sur le rôle du chrétien face aux non croyants qui consiste à laisser le jugement à Dieu qui a déjà jugé ceux qui ne croient pas en son Fils Jésus-Christ.
 
« Dieu, en effet, n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu’il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. Celui qui croit en lui n’est point jugé, mais celu iqui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. » Jean 3.17-18
 
« Maintenant, ce que je vous ai écrit, c’est de ne pas avoir des relations avec quelqu’un qui, se nommant frère, est impudique, ou cupide, ou idolâtre, ou outrageux, ou ivrogne, ou ravisseur, de ne pas même manger avec un tel homme. Qu’ai-je, en effet, à juger ceux du dehors ? N’est-ce ceux du dedans que vous avez à juger ? Pour ceux du dehors, Dieu les juge. Otez les méchants du milieu de vous. » 1 Corinthiens 5.11-13    
 
« Le Juif convaincu de la véracité du Judaïsme croit que le christianisme ne tient pas ses promesses. »
 
La plupart du temps, ceux qui se sont attachés au Judaïsme, celui qui privilégie davantage la tradition que la loi de Moïse et les prophètes ne sont pas exercés à penser et à vivre par la foi. Ainsi, par leur lien indéfectible envers la tradition du Judaïsme, ils ne comprennent pas la parole de Dieu, ils regardent de leurs yeux voilés et font du comparatisme religieux.
 
En effet, les érudits du Judaïsme sont convaincus que leur religion vient de Dieu donnée à Moïse, donc lorsqu’ils dénigrent le christianisme, ils font du comparatisme avec leur propre religion, plaçant le focus sur les divisions de la chrétieneté et notamment sur la religion catholique qui, elle-même, est attachée à une ancienne tradition établie par une institution que s’est apostasiée en tordant le sens de la doctrine de la foi et de l’Église authentique de Jésus le Messie.  
 
Au temps de Jésus, beaucoup étaient convaincus de la véracité du Judaïsme puisqu’ils ont tout fait pour faire accuser et pour condamner Jésus à mort, malgré la démonstration de ses miracles et de ses œuvres de justice ainsi que la pertinence et l’autorité de son enseignement.  
 
« Hypocrites, Ésaïe a bien prophétisé sur vous, ainsi qu’il est écrit : Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est éloigné de moi, c’est en vain qu’ils n’honorent, en donnant des préceptes qui sont des commandements d’hommes. Vous abandonnez le commandement de Dieu, et vous observez la tradition des hommes. Il leur dit encore : Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition. » Marc 7.6-9
 
« Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, s’appuyant sur la tradition des hommes, sur les rudiments du monde, et non Christ. Car en lui habite corporellement toute la plénitude de la divinité. » Colossiens 2.8-9 
 
Les Juifs orthodoxes très attachés à la tradition du Judaïsme reprochent les défaillances dans l’accomplissement des promesses du Christianisme. Mais là aussi, leurs croyances faites de commandements d’hommes leurs voilent les yeux et bouchent leurs oreilles de ce que le Saint-Esprit fait dans la vie de ceux qui ont la foi en Jésus-Christ notamment par leurs œuvres de justice et de sainteté. Un Juif doit comprendre qu’il ne sera jamais sauvé par ses œuvres, mais par la grâce de Dieu et seulement s’il a la foi en Jésus-Christ.
 
 
« Car c’est par grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie. Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus-Christ pour de bonnes œuvres, que Dieu a préparées d’avance, afin que nous les pratiquions. » Éphésiens 2.8-10 cf. Galates 2.16  
 
De plus, au sujet de cette affirmation qui parle des promesses du christianisme, il est inévitable d’associer aux promesses l’espérance en Jésus-Christ. Quand nous savons que la condition humaine est dominée par le péché et par la mort, qu’est-ce qui distingue l’espérance du chrétien avec celle du Juif ?
 
Dans ces convictions de la tradition judaïque, l’espérance du Juif repose principalement sur l’attente du Messie et sur les prophéties de la restauration d’Israël qu’il estime toujours à venir. Mais le Juif n’a aucune espérance qui permette de résoudre la condition humaine dans laquelle il se trouve, c’est-à-dire qu’il ne peut pas échapper au péché ni à la mort par ses propres œuvres.
 
Quant à l’espérance chrétienne, elle apporte une résolution certaine de sortir des conditions du péché et de la mort. Chaque chrétien construit son espérance par la grâce de Dieu au moyen de sa foi à travers des épreuves, par un perfectionnement dans sa conduite et dans ses relations avec son prochain.
 
« Bien plus, nous nous glorifions même des afflictions, sachant que l’affliction produit la persévérance, la persévérance la victoire dans l’épreuve, et cette victoire l’espérance. Or, l’espérance ne trompe point, parce que l’amour de Dieu est répandu dans nos cœurs par le Saint-Esprit qui nous a été donné. » Romains 5.3-5    
 
Cette espérance vient de Dieu qui a promis d’une part, de rendre juste celui qui a la foi en Jésus-Christ comme le père Abraham, qui a été justifié par sa foi. Cette promesse est démontrée par la libération des liens de servitude du péché pour servir la justice de Dieu, et d’autre part, Dieu a promis la résurrection des morts comme Jésus est ressuscité, afin de vaincre la puissance de la mort et entrer dans la vie éternelle. « Celui qui a le Fils a la vie, celui qui n’a pas le Fils n’a pas la vie. » 1 Jean 5.12     
 
« Mais grâces soient rendues à Dieu, de ce que, après avoir été esclaves du péché, vous obéi de cœur à la règle de doctrine dans laquelle vous avez été instruits. Ayant été affranchis du péché, vous êtes devenus esclaves de la justice […] De même donc que vous avez livré vos membres comme esclaves à l’impureté et à l’iniquité, pour arriver à l’iniquité, ainsi maintenant livrez vos membres comme esclaves à la justice, pour arriver à la sainteté. » Romains 7.17-19
                                  
« Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l’incorruptibilité, et que ce corps mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite : La mort a été engloutie dans la victoire. O mort, où est ta victoire ? O mort, où est ton aiguillon ? » 1 Corinthiens 15.54-55  
 
 
 

Jean 8 v 12 Jésus leur parla de nouveau. Il dit: «Je suis la lumière du monde. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il ...