mais a oublié le sujet de la fête.
Le monde s’illumine en décembre, mais les cœurs restent souvent dans l’obscurité. Les vitrines brillent, les tables débordent, les chants résonnent… et pourtant, Celui qui est la lumière du monde est laissé à la porte. Noël est célébré partout, mais Christ est absent de trop de vies. On fête le jour, on a oublié la personne.
La Bible déclare : « Elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus ; c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés » (Matthieu 1:21).
Voilà le sujet de la fête : un Sauveur, non une tradition ; une croix à venir, non une simple émotion passagère. Jésus n’est pas venu pour décorer nos habitudes, mais pour transformer nos cœurs.
« Il est venu chez les siens, et les siens ne l’ont point reçu » (Jean 1:11). Quelle tragédie moderne ! On accepte l’ambiance de Noël, mais on refuse l’autorité de Christ. On veut la paix sans repentance, la joie sans obéissance, la bénédiction sans le Seigneur. Mais Dieu ne se laisse pas reléguer à un symbole saisonnier.
Pourtant, la grâce demeure. « Car un enfant nous est né, un fils nous est donné » (Ésaïe 9:5). Cet enfant frappe encore à la porte des cœurs endurcis, blessés, perdus. Il ne cherche pas une crèche décorative, mais un cœur humble et brisé.
En ce temps de Noël, la question n’est pas : vas-tu fêter Noël ?
La vraie question est : as-tu reçu Jésus ?
« Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos cœurs » (Hébreux 3:15).
